par
Il était une fois le sac à dos qui répond à tous mes critères :
– un sac à dos pratique
– un sac à dos stylé
– un sac à dos de qualité
– un sac à dos ni trop grand ni trop petit
J’ai nommé le sac à dos Gabi de chez Pachamama.
Franchement les sacs à dos décath’ ou autres sacs à dos bien pratiques pour les randos, c’est sympa. Mais j’en avais marre d’avoir ce style de sac pour TOUTES mes balades. Que ce soit en ville, en petite sortie visite château, ce n’est pas nécessaire d’avoir un produit ultra rando. Paye tes photos souvenirs sur ton smartphone où tu as l’impression que tu vas faire l’ascension du mont Sajama.
Un sac à dos en cuir pour faire des balades en ville ou des sorties à la journée.
Ce sac est une bonne alternative à mon sac de rando habituel.
Je le trouve pratique et stylé. Il y a une ouverture principale où l’on peut y ranger facilement une gourde de 1L et un séparateur pour ranger un bloc-notes (ou un ordinateur de 13 ou 15 pouces).
Le côté pratique, je le retrouve aussi via ces deux petites poches en cuir sur le devant du sac qui se referment via un bouton aimanté. Efficacité assurée pour retrouver son petit paquet de mouchoirs (team rhume des foins 😅) ou sa carte navigo par exemple.

Rangements, petit poche avec fermeture éclair et porte clés

Les bretelles et les jolies surpiqûres

Un rouge carmin tout en velours
Et le sac à dos Gabi est truffé de petits détails pour le rendre à la fois pratique et élégant :
- Ses dimensions 38 cm de hauteur sur 24 cm de largeur. Un pc portable 15 pouces passe sans problème ainsi que mon clavier sans fil.
- Une doublure interne imperméable pour bien protéger mes petites affaires à l’intérieur
- Une poche avec fermeture éclair à l’arrière du sac pour y planquer mon smartphone en ville et le récupérer facilement pour faire des photos en balade.
- Une seconde poche intérieure avec fermeture éclair me permet d’y ranger des petits objets du quotidien (baume à lèvre, mouchoirs, la fameuse petite monnaie qui traînent dans le sac^^)
- Un anneau pour y accrocher ses clés. Mine de rien ça a révolutionné mon arrivée devant chez moi, au lieu de passer 2 min à chercher partout ma paire de clé dans le compartiment principal du sac, en 5 secondes, je décroche mes clés.
- Les bretelles réglables ni trop fines ni trop larges pour épouser mes épaules et garder un style fun et élégant.
- La séparation rembourrée permet de séparer mon ordinateur de mes autres affaires. Si je ne l’utilise pas, elle se range parfaitement bien au niveau du dos du sac.
- Un autre détail : les tissus aguayo qui se hissent le long des fermetures de chaque poche. Un beau clin d’œil au savoir-faire des Boliviens qui ont une maîtrise totale de leur métier à tisser (franchement c’est incroyable de les voir en « vrai »), on voyage à nouveau !

Vous voyez devant j’ai laissé une des poches ouvertes pour que vous puissiez voir l’aimant, on garde le style boucle tout ayant recours à ces petits aimants pratiques !

Il a ce petit style « d’aventurier » que j’aime avec le cuir de couleur caramel et ses jolies coutures apparentes.
La marque Pachamama
Le mot Pachamama symbolise à la fois un événement et représente plus particulièrement la gratitude des peuples andins pour la « Déesse de la terre ». Ce nom est tellement rempli de sens et fort en Bolivie, et je comprends pourquoi, ils ont décidé d’appeler la marque ainsi. Le sac avec son style « aventurier », est une belle invitation au voyage, aux découvertes, au respect pour la terre et à ce que la vie nous apporte. J’ai un peu l’impression avec ce sac de porter mes valeurs sur le dos !
Ils ont aussi réussi une belle prouesse : faire cohabiter l’artisanat féminin et masculin en Bolivie. En effet, le travail du cuir baigne dans un univers masculin alors que le tissage, le métier à tisser (ici représenté par le tissu traditionnel Aguayo) est plutôt une histoire de belles générations entre mères et filles qui se transmettent un savoir-faire. Un combo artisanal qui permet de concentrer le savoir-faire textile des Boliviens.
Et si on regarde qui est derrière cette marque, ce n’est pas étonnant d’y voir un si beau projet et un produit aussi quali. Juliette et Gaétan, sont tombés amoureux lors d’un voyage de la maîtrise des matières des Boliviens, des produits qu’ils étaient capables d’offrir. En revenant en France, ils ont voulu partager ce savoir-faire et soutenir le travail artisanal de familles boliviennes.
Essayage du sac
Pour ce genre de sac, ce sont toujours les bretelles qui me font peur, car si elles sont trop fines cela risque d’être inconfortable à porter. Et justement, j’ai cette sensation que ces bretelles épousent mes épaules, ce petit côté semi-rigide rend agréable le portage du sac. Le dos du sac réalisé à partir de cuir de vache lisse, un peu rigide également permet de gagner en confort et je ne sens pas le moindre objet qui est au contact de mon dos. Les petites boucles de devant sont vraiment pratiques au quotidien, tandis que la plus grande avec la fermeture à cordon, demande un chouilla de pratique (et certainement le temps que le cuir « se fasse » un peu plus). Mais, je préfère que cette fermeture soit moins accessible pour limiter les risques de vol dans les transports en commun.
Mon avis
Le contraste entre le cuir et le rouge carmin est saisissant, je suis ultra fan, il correspond bien aux photos sur le site. Il se marie très bien avec une veste en jean, un manteau foncé ou un pull. Cela répond bien à ma garde-robe minimaliste qui doit à minima se marier avec plus de la moitié de mes affaires ! Je suis bien contente d’avoir choisi le format 18L, car il est à mon sens plus fonctionnel pour l’utiliser aussi bien en mode balade (pull, gourde, quelques documents et petits objets qui traînent dans le sac) et au quotidien pour se rendre au travail, dans mon cas à l’espace de coworking. C’est vrai lorsque je suis à la boulangerie, j’anticipe un peu l’ouverture principale du sac pour y chercher mon porte-monnaie, mais je préfère que cela reste une ouverture moins facile pour garder en sécurité mes affaires. Ce sac a du caractère, une âme, ce cuir, ce travail artisanal et ses tissus le laissent paraître ! D’ailleurs, lorsque je l’ai porté la première fois auprès de mes amis, j’ai reçu les compliments des copines et des copains (ce qui est assez rare), les uns pour l’aspect esthétique et les autres pour la qualité des matières utilisées !
Au vu de la qualité du produit, de ses finitions, de son intemporalité, je sens que c’est un sac qui va durer et pour ça, ça vaut les 149€ affichés sur le site pour ce modèle GABI Carmin.