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Marlène a décidé de faire une année sabbatique après 4 ans en tant qu’ingénieure matériaux en France. Elle a voulu pendant cette période joindre le voyage et le volontariat qui touche ses passions. Elle nous raconte son expérience au Mexique où elle a soutenu un centre de solidarité dans la région du Chiapas. Découvrez, à travers cette interview, une aventure enrichissante, un avis détaillé et nuancé.
Est-ce que tu peux te présenter ?
Je m’appelle Marlène, j’ai 27 ans et je suis Ingénieure Matériaux en Savoie depuis 4 ans. J’ai décidé de poser un congé sabbatique d’un an pour voyager essentiellement autour du Pacifique, en solo, et faire du volontariat, en associations principalement, dans différents pays. Je suis restée 5 mois en Amérique latine (Panamá, Costa Rica, Guatemala, Mexique, Équateur et Île de Pâques) avant d’atteindre l’Océanie (Polynésie française, Nouvelle-Calédonie et îles Fidji) et l’Asie (Japon et Malaisie).
Pourquoi as-tu décidé de faire du volontariat pendant ton séjour à l’étranger ?
J’ai décidé de faire du volontariat essentiellement pour donner une partie de mon énergie à la réalisation d’actions concrètes et locales. Pour moi, le volontariat permet de nouer des liens forts avec des locaux, car on s’investit sur place et on laisse un souvenir de notre passage qui est différent du simple touriste. C’est une expérience de vie unique qui développe la tolérance, l’ouverture d’esprit, le travail en équipe, l’indépendance…
50% de mon temps de congé est consacré à du volontariat (2 mois au Mexique, 3 semaines en Polynésie française, 1 semaine en Nouvelle-Calédonie et 2 mois au Japon). Toutes ces missions sont en lien avec l’agriculture et l’environnement, car j’aime jardiner et depuis 3 ans je suis dans une mouvance « réduction des déchets ». Et surtout je pense que le retour vers la terre et les travaux manuels sont essentiels pour la survie de la planète et des Hommes. Pour finir, je voulais travailler en extérieur pour être le plus loin possible d’un ordinateur !
Est-ce que tu peux nous parler du lieu de ton volontariat ?
Mon volontariat s’est déroulé dans le centre agroécologique Tsomanotik. La mission de Tsomanotik est de développer et promouvoir une société respectueuse de la nature, équitable, solidaire et autosuffisante d’un point de vue alimentaire et énergétique. Le centre est composé de plusieurs équipes, dont l’agriculture, l’éducation, la nutrition, la communication et la vente. Par exemple, via l’éducation les volontaires et l’équipe éducation interviennent dans plusieurs écoles de Tzimol (et plusieurs communautés) et enseignent aux enfants les principes des végétaux, le jardinage… Des écoles viennent visiter le centre aussi de temps en temps. En nutrition, l’équipe intervient auprès de communautés et des femmes pour leur enseigner les principes de nutrition, échanger sur les recettes et ce qu’elles utilisent pour cuisiner.

La salle à manger décorée par mes soins
Le centre Tsomanotik est situé sur les hauteurs du village de Tzimol. On est à 1400m d’altitude, le vent souffle quasiment tous les jours et l’hiver est plutôt sec et froid (certains matins le bonnet et la polaire m’ont été fort utiles !). La pluie et la grisaille sont rares, mais quand ils sont présents c’est pour 3 jours consécutifs.
Tzimol, c’est un petit village de 15000 habitants qui vit essentiellement de l’agriculture et de l’élevage. En moto taxi depuis le bourg il faut compter 5-10min pour atteindre le centre.
Les personnes travaillant et vivant au centre parlent essentiellement en espagnol, seule une minorité parle anglais. La majorité des employés sont originaires de Tzimol ou d’autres villes du Chiapas comme Las Margaritas, Comitán, Ocosingo…
L’accueil et la visite du centre sont organisés généralement par les volontaires ou par les personnes de garde.
Pour ma venue sur le centre, j’ai été accompagnée par une personne de l’association Viva nommée Atalia (qui m’avait accueilli 2 jours plus tôt dans la maison de l’association à San Cristóbal de Las Casas). C’est elle qui s’est chargée de la prise de contact avec Tsomanotik, du transfert sur place, de mon accueil et du suivi de mon projet.
Où se trouve ton volontariat ?
Pour rejoindre Tsomanotik, il faut se rendre tout d’abord au Mexique et plus précisément dans le Chiapas.
Comment peut-on y accéder ?
Le centre se situe à 2h au sud de San Cristóbal de Las Casas et 30min à l’ouest de Comitán.
Pour accéder depuis San Cristóbal de las Casas :
- Prendre un colectivo direction Comitán. Ces colectivos partent une fois pleins et il y a plusieurs compagnies. Il suffit de demander ou lire la direction sur le colectivo ou tendre l’oreille des racoleurs « Comitán !! » Généralement, les départs s’effectuent toutes les 20 minutes entre 6h et 22h. Coût : 60 pesos
- Arrivée à Comitán, il faut prendre un colectivo pour Tzimol ou pour Tuxla. Un transport passe toutes les 30minutes entre 6h-19h. Demander à être arrêter à la Pasadita de Tzimo. Coût : 15 pesos
- Au niveau de la Pasadita, monter dans un moto-taxi et énoncer Tsomanotik. Coût : 10 pesos
Quelle a été la durée de ton volontariat ?
De 2 mois, du 28 octobre 2018 au 28 décembre 2018.
Quelles activités as-tu réalisées ?
Chaque volontaire est intégré à une équipe en fonction de ses vœux et son temps sur place.
J’ai intégré l’équipe agro à temps plein. Le potager suit les principes de l’agroécologie donc c’est 100% bio, on fait des associations de plantes qui se protègent entre elles, on protège le sol du dessèchement en paillant, etc…
Nos principales actions en agro sont :
- Préparer un compost ou un bokachi (compost enrichi en micro-organismes)
- Retourner le bokachi
- Préparer un carré de plantation
- Arroser le potager et les semis à l’arrosoir
- Désherber
- Transplanter les semis
- Appliquer les soins préventifs et curatifs (à base de micro-organismes, urine, etc.)
- Récolter les légumes et plantes aromatiques
- Pailler les plantes
- Récolter et trier les graines
Toutes ces actions sont réalisées par binôme ou trinôme, sous les recommandations du responsable agro.

Potager
Tous les jeudis matin, tous les volontaires et l’équipe agro sont mandatés pour récolter et nettoyer les légumes de la vente hebdomadaire.
Le premier lundi du mois il y avait une réunion avec tout le personnel de 15h à 17h autour des améliorations à apporter au centre. Durant mon séjour, il y a eu 2 réunions qui portaient sur l’autosuffisance alimentaire du centre, pourquoi ils continuaient d’acheter des denrées alimentaires au Walmart, etc…
De plus le mercredi après-midi ou le jeudi après-midi, on pouvait participer aux “Huertos familiares”, c’est-à-dire aller chez un villageois pour échanger sur ses pratiques de jardinage, apporter des semences, faire un suivi du potager, etc. C’était le moment idéal pour être en contact avec les locaux de Tzimol.
Sinon chaque personne du centre, en trinôme, devait nettoyer la salle commune une fois par semaine, je le faisais le mardi après le repas du midi.
Et tous les soirs, les volontaires, en binôme et à tour de rôle, préparaient le dîner pour les volontaires et les salariés qui restaient sur place. Il fallait pour cela planifier une semaine à l’avance la recette et les ingrédients nécessaires.
Vu qu’on se partageait les sanitaires à 2 ou 3 et que nous avions à disposition des toilettes sèches, il fallait nettoyer les pots à excréments, car tout était récupéré pour le jardin (l’urine pour des traitements et les matières fécales pour le compost) donc rien ne se perd !
Pour finir, j’avais 2h de gardiennage durant la journée du jeudi (10h à 12h), cela signifie que si la cloche du centre sonnait, je devais aller ouvrir le portail et accueillir les personnes où récupérer des colis par exemple.
Comment se déroulait une journée de travail ?
Je travaillais du lundi au vendredi de 6h30 à 9h puis de 10h à 14h. Les heures étaient imposées par le centre.
Généralement de 6h30 à 9h, nous réalisions les actions les plus physiques.
Tous les week-ends étaient libres et nous pouvions soit rester au centre soit partir en excursion en groupe. Il fallait juste informer les responsables du centre de notre lieu de week-end et si nous étions seul(e) ou en groupe.
Quels ont été les échanges avec l’hôte ?
Avec les membres de l’équipe agro nous parlions du Mexique, du Chiapas, des zapatistes, de l’éducation, de la France… Nous écoutions beaucoup de musique et les blagues étaient régulières ! Surtout au jardin, certaines personnes ont terminé bien mouillées en voulant m’embêter ! Une fois par semaine dans l’équipe agro, on se posait à l’ombre pour déguster une glace du village à la cacahuète ou à la coco ! S’il le temps était mauvais, nous restions au chaud à côté d’un feu avec un bon café et des biscuits !
Un jour, en désherbant des capucines, j’ai décidé de les récupérer pour faire des bouquets pour la salle commune. Les gens étaient tellement heureux de voir la pièce décorée qu’ils m’ont demandé de recommencer le plus souvent possible !
Je préparais des gâteaux généralement les soirs de la semaine où je cuisinais en binôme et j’ai été désignée comme “la maman” pour les gâteaux… ma recette du moelleux au chocolat a été largement partagée !
Durant ma dernière semaine, j’ai aidé la cuisinière, car cela me faisait envie et elle était super contente surtout que j’en ai profité pour faire une tarte au citron meringuée !
Certains soirs, je passais des heures à discuter avec un ami mexicain de la vie, des amours, des différences françaises et mexicaines… et des fois même en regardant les étoiles.
Ma dernière semaine je jouais aux cartes avec 2 ou 3 amis mexicains, on a bien rigolé et écouté la musique typique du nord du Mexique (Banda MS pour citer qu’un groupe) !
Vu qu’on vivait en communauté, il a été très facile de s’intégrer et de se sentir entourée. Il y a toujours des personnes pour discuter, rire, te remonter le moral, t’apprendre l’espagnol… Les gens prennent le temps de t’expliquer les fonctionnements, où est-ce tu peux trouver tels ou tels produits, ce que tu peux faire les week-ends… Énormément de partage !
Combien y avait-il de volontaires ?
Quand j’étais à Tsomanotik, nous étions 9 volontaires (7 français, 1 allemand et 1 russe). Parmi ces 9 volontaires, 6 étaient là dans le cadre d’un service civique de 6 à 9 mois.
Je faisais partie des 3 qui étaient, là pour de plus courtes durées et sans contrat civique. Je pense que le centre peut accueillir jusqu’à 14 volontaires en même temps sachant qu’il y a un pic en été.
Comment peut-on découvrir les environs ?
Il est très facile de se rendre aux cascades El chiflon situé à 30minutes du centre. Il y a aussi une cenote à 20 minutes, des sources d’eaux chaudes, une rivière dans Tzimol…
San Cristóbal de las Casas est à 2h en colectivo. J’y suis allée plusieurs fois dont une pour el día de los muertos !

Site maya Yachilan
Sinon il faut compter 3h minimum de trajet pour visiter d’autres lieux du Chiapas comme les lagos de Montebello, Palenque, se baigner dans le pacifique à Boca del Cielo, le canyon de Sumidero…

Lagos de Montebello à 2h de route
Le Chiapas est riche en paysages, sites mayas… Les week-ends sont bien remplis et il y a des tentes à disposition donc pour les petits budgets c’était super pratique !

Ruines d’un temple Maya
Quelles sont les conditions d’hébergement ?
J’avais accès à une chambre privée, puis j’ai dû me déplacer dans un dortoir, mais j’étais toute seule donc c’était comme une chambre privée.
Toutes les structures étaient en dures, les lits étaient confortables avec draps, oreillers et couvertures à disposition.
Je partageais mes sanitaires (douche et toilettes) avec une autre volontaire.
Les espaces extérieurs, la cuisine, la salle commune et la bibliothèque sont en libre accès. Les salles de réunions et les bureaux sont accessibles durant la journée.
Les volontaires vivent sur place soit en chambres individuelles, soit en dortoir de 4. Quelques employés restent au centre durant la semaine, car le coût des trajets domicile-travail leur est trop important.
Comment se passent les repas ?
Tous les repas étaient partagés. Les petits déjeuners et déjeuners étaient préparés par 2 cuisinières généralement Lupita et Nefris.
De 9h à 10h c’était l’heure du petit déjeuner (desayuno) composé d’une boisson chaude, de haricots rouges ou noirs, de tortillas, de fruits, de fromage de la région. Souvent il y avait de l’omelette et des légumes en plus.
De 14h à 15h c’était l’heure du déjeuner (comida). Toujours haricots et tortillas, généralement une viande en sauce, des légumes, agua del día (eau mélangée avec un fruit), des fruits voire une pâtisserie.

Une soirée comme une autre ! Du fun et de la bonne compagnie
À 19h-20h, c’était le dîner (cena) préparé par les volontaires. Par binôme, on cuisinait des recettes plutôt européennes et 100% végétariennes. Depuis que je suis partie, je sais que le dîner est dorénavant préparé par Lupita suite à une réorganisation, car nous avions protesté sur le fait que les éléments de base ne soit pas mis à disposition (huile, farine, etc…), ce qui nous avait amenés à enfreindre certaines règles…
Tous les repas étaient accessibles aux végétariens sans problème.
Y a-t-il internet ?
Il y a du WiFi dans toutes les zones habitables, mais certains spots sont plus performants que les autres. On peut faire des appels vidéo avec une qualité d’image médiocre.
Sinon la 3G capte bien, il faut privilégier l’opérateur Telcel et acheter du crédit au mois afin d’avoir WhatsApp, Messenger, les réseaux Facebook et Instagram en illimité.
Qu’as-tu pensé de ton volontariat ?
Le point fort de cette expérience
J’ai adoré mon volontariat pour plusieurs raisons :
- Très bonne équipe encadrante qui fait que l’on est intégré et formé, on devient très rapidement un membre de l’équipe. Surtout en agro, j’ai pu pas mal échanger sur mes pratiques de jardinage et j’en ai appris de nouvelles, notamment dans l’utilisation des micro-organismes et la récupération des graines. On peut venir sur place sans connaissances particulières et on repart avec une expérience enrichissante.
- Le travail est varié et intéressant, c’est tellement gratifiant de voir pousser les semis dont je m’étais occupée et récolter les légumes gorgés de soleil.
- Bonne immersion dans la culture mexicaine et du Chiapas en particulier, car on vivait, mangeait, dansait, etc… au rythme mexicain ! J’ai eu la chance de pouvoir vivre El día de los muertos, la Santa Guadalupe et Noël dans une famille mexicaine, des fêtes qui comptent beaucoup pour les Mexicains.
- Le centre s’efforce de protéger l’environnement (toilettes sèches, douches solaires, jardin bio) du mieux qu’il le peut. C’est énorme sachant qu’il y a très peu de sensibilisation à la protection de l’environnement au Mexique.
Pour finir, c’était une très belle expérience humaine, j’ai noué des liens avec des volontaires et des amis mexicains qui sont très sympas et nous échangeons régulièrement, car nous sommes liés par ce lieu dorénavant.
Le point faible de cette expérience
- Tsomanotik n’est pas une association, mais un centre qui a été fondé par un couple qui a décidé d’investir une partie de leur argent pour créer un centre prônant l’autosuffisance alimentaire, la solidarité et une meilleure nutrition. Du coup, tous les gens qui travaillent pour le centre sont des employés, ils n’ont donc pas la libre expression tout le temps… On peut dire que le centre est donc géré comme une entreprise.
- L’autosuffisance n’est pas d’actualité vu que les légumes de l’agro sont en priorité pour la vente hebdomadaire. Nous mangions donc quelques légumes du jardin, mais la majorité des repas était composée de produits achetés…
- Je regrette de ne pas avoir plus rencontré des personnes du village, car Tsomanotik était à l’écart. Et étant en agro, je sortais peu du centre, sauf les week-ends pour faire des visites.
- Depuis quelques mois, l’ambiance au centre s’est dégradée suite à des différents avec la direction du centre (principalement avec la directrice dont certaines prises de position sont absurdes et toxiques). Ceci peut impacter le bon déroulement du volontariat et son expérience sur place. Toutefois, les interactions avec les employés sont toujours bonnes et constructives ce qui permet de compenser les situations négatives qui restent minoritaires
Qu’est-ce que tu retiens ?
Ce volontariat a été très instructif d’un point de vue agro, car j’avais de bonnes bases, mais je les ai consolidées. J’ai aussi beaucoup apporté à l’équipe et à la dynamique du groupe, car j’étais toujours d’attaque et motivée à 200%. Mon référent m’a dit que j’étais la 1ère volontaire avec autant de volonté et d’énergie. L’équipe agro était vraiment triste que je parte…
Et bien entendu, mon espagnol s’est amélioré !
Ce premier volontariat a été un super moment de communion et le Mexique est un coup de cœur de mon voyage d’un an en partie grâce à cette expérience. J’ai fait de très belles rencontres et je suis toujours en contact avec des membres de l’équipe et d’autres volontaires.
Si je devais modifier mon expérience, je participerais plus aux jardins familiaux (huertos familiares), car c’était un des rares moments d’échange que j’avais avec des personnes hors du centre.
Concernant l’association Viva à San Cristóbal de Las Casas, j’ai toujours été en contact avec eux et si je décidais d’aller passer le week-end à San Cristóbal, j’avais un lit gratuit dans leur maison. J’avais donc noué des liens avec des volontaires qui sont sur d’autres projets.
L’association Solidarités Jeunesses a toujours été là en support si j’avais des soucis. Les contacts étaient faciles par mail. Et surtout avant mon volontariat, j’ai effectué un week-end de préparation qui m’a apporté plein d’explications et de solutions sur le comportement à avoir, que faire en cas de coup de blues, comment gérer les tensions…
Contact
Vous pouvez accéder au volontariat à Tsomanotik de différentes façons :
- Via une association en France comme Solidarités Jeunesses qui vous apporte un soutien avant, pendant et après. Le mail est longterm@solidaritesjeunesses.org
- Via une association locale comme VIVA , ils ont également une page Facebook
- En contactant directement Tsomanotik sur leur site internet et leur page Facebook
Pour moi l’avantage de passer par une association française ou locale c’est d’avoir un soutien en cas de doute, de problème, car on peut être basculé sur un autre projet, on a un interlocuteur qui connaît les us et coutumes, etc.
J’ai payé 230€ à Solidarités Jeunesses et les 4500pesos/mois au Mexique (environ 205 euros). Le projet sur la page Solidarités Jeunesses s’appelait « Manos unidas », j’ignore s’il est encore présent. Si tu passes directement par Tsomanotik, tu paies moins de frais comme 3900pesos/mois.
Un grand merci à Marlène qui a su nous transmettre son expérience de volontariat avec beaucoup de précisions et d’émotions. Nous espérons que vous avez apprécié la sincérité de ces propos, êtes-vous prêts pour faire du volontariat ?
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L’idée est d’éclairer les voyageurs qui souhaitent s’investir dans le volontariat à travers les témoignages d’autres voyageurs : Comment ça se passe un volontariat ? Quelles sont les activités que l’on peut être amenés à réaliser ? Quels sont les réels échanges entre les hôtes et les volontaires ? Bien sûr, cet avis est propre à celui de son auteur. Le vôtre sera sûrement différent. Vous pouvez retrouver toutes nos expériences de volontariats et celles des voyageurs dans la rubrique « Volontariat ».