Enora et Candie ont testé un volontariat dans la bioconstruction


Revivez le volontariat en bioconstruction de Candie et d’Enora, auteures du blog Les Géonautrices. Elles nous racontent comment elles ont passé l’une de leurs meilleures expériences de volontariat en Workaway, tout en ne parlant pas la langue maternelle du pays. Il fallait oser ! Des volontaires qui ont mis main à la pâte pour participer à la construction écologique de la maison de leurs hôtes argentins. Elles expliquent en détail le déroulement de leurs journées et les sorties qu’elles ont réalisées à El Bolson. C’est parti !

Est-ce que vous pouvez vous présenter ? 

Enora Et Candie Les Geonautrices

Enora et Candie

Nous sommes Enora et Candie, respectivement 27 et 30 ans. Nous sommes deux passionnées de voyage et de randonnée aux parcours bien différents. Enora, anciennement dans le schéma classique métro/boulot/dodo et en voyage pendant ses semaines de congés. J’ai travaillé dans le e-commerce en webmarketing pendant de nombreuses années et l’envie d’autre chose se faisait de plus en plus sentir. Candie, anti-routinière et à la bougeotte, ayant vécu et voyagé aux quatre coins du monde. Elle alternait années d’expatriation, emplois saisonniers et voyages. Ensemble, le projet est né en 2017 de nous envoler pour l’Amérique du Sud avec un PVT Argentine en poche. Le 1er janvier 2018, nous décollions pour une durée indéterminée en Amérique du Sud (un an et trois semaines au final) en baragouinant à peine quelques mots d’espagnol. Nous avons passé 8 mois et demi en Argentine, un mois en Bolivie et trois mois au Pérou. Aujourd’hui de retour en France, nous lançons nos activités respectives, en rédaction web/photographie/vidéo pour Candie et dans l’accompagnement d’entreprises à développer leur activité grâce au web (webmarketing et création de contenus web) pour ma part, Enora. En parallèle, nous souhaitons à présent découvrir la France et l’Europe plus en profondeur.

Pourquoi avez-vous décidé de faire du volontariat pendant votre séjour à l’étranger ?

Le volontariat était pour nous une super opportunité pour rencontrer des locaux, nous immerger réellement dans la vie locale et apprendre de nouvelles choses. Nous voulions voyager lentement et prendre notre temps afin de vivre des expériences plus riches. Nous pouvions également pratiquer l’espagnol et nous améliorer plus facilement. Ce n’était pas du tout évident de communiquer au départ avec notre espagnol très approximatif et la pauvreté de notre vocabulaire. Nous avons fait notre premier volontariat, celui dont nous parlons dans ce témoignage, après un mois de voyage.

Enfin, la dernière raison qui nous a poussés à faire du volontariat était une question financière. Ça nous permettait de ne pas voir toutes nos économies s’envoler trop rapidement et ainsi pouvoir prolonger le voyage.

 Est-ce que vous pouvez nous parler du lieu de votre volontariat ?

Nous avons fait ce premier volontariat à El Bolson, un petit village au nord de la Patagonie argentine. Cette ville est surnommée la ville des hippies dû à son passé et aux populations qui y vivent qui sont, pour beaucoup, dans une démarche axée nature et vie simple. Le cadre de ce village était très joli et entouré de montagnes, quoi demander de mieux pour nous ! 🙂

Nous avons été accueillies par un couple argentin d’une trentaine d’années qui vivait à 30min à pied du centre de la ville. Ce couple était en train de finaliser la construction de leur maison en matériaux naturels et/ou de récupération, structure en bois et murs en mélange d’argile, de sable et de paille. Nous venions les aider à finaliser les murs de deux pièces. Leur maison ressemblait à une construction féérique, pleine de couleurs, de formes originales et de courbes, de mosaïque au sol. Ils étaient d’excellents musiciens tous les deux et vivaient très modestement. C’est d’ailleurs pour des questions économiques avant tout qu’ils avaient entrepris de construire leur maison de leurs propres mains, six ans plus tôt. L’homme, Juan, ne parlait qu’espagnol et la femme, Catalina, parlait espagnol et un bon anglais, ce qui a permis de pouvoir un peu plus échanger grâce à Candie qui est bilingue anglais. Ils nous ont extrêmement bien reçues et nous ont fait confiance durant le mois où nous avons été avec eux.

Où se trouve votre volontariat ?

Ce volontariat se situe à El Bolson au nord de la Patagonie argentine, dans la province de Río Negro. Cette ville est à environ 120km au sud de San Carlos de Bariloche.

Comment peut-on y accéder ?

Pour arriver à El Bolson, nous avions pris un bus depuis El Calafate avec la compagnie Marga Tasca. Une fois sur place, nous avons d’abord passé quelques jours en auberge de jeunesse dans le centre-ville, car nous ne savions pas encore que nous allions avoir ce volontariat. Nous devions aller chez un autre hôte au départ qui nous a plantés au dernier moment puis ce super couple d’Argentins a accepté de nous recevoir malgré notre demande de dernière minute.

Pour aller jusqu’à chez eux, Juan est venu nous chercher directement à notre auberge en voiture. En 15min à peine nous étions chez lui. Il est également possible de prendre un bus local depuis le centre en direction de El Hoyo ou Lago Puelo (de mémoire) et de descendre à la verduleria (stand de légumes) qui se trouvait sur la droite de la route à la sortie de la ville. Le nom du quartier m’échappe. Le trajet ne coûtait vraiment pas grand-chose et le bus passe environ toutes les demi-heures jusqu’à 9h ou 10h du soir. Ensuite, il faut marcher une quinzaine de minutes.

Lorsque nous voulions aller de chez eux au centre-ville, nous tentions de faire du stop le long de la route principale (la route 40) ce qui fonctionnait presque à chaque fois, sauf une fois où nous avons fini par marcher tout du long environ une 40aine de minutes.

Quelle a été la durée de votre volontariat ?

Nous avons passé 1 mois en volontariat à El Bolson.

 Quelles activités avez-vous réalisées ?

Les tâches principales que nous avons eu à faire étaient de finaliser les murs de 2 pièces de la maison en cours de construction. Nous travaillions nous deux avec nos deux hôtes tout le temps. Parfois, un ami à eux venait donner un coup de main et sur les dix derniers jours de notre présence, une autre volontaire (française) est arrivée pour aider.

Enora Tamise Du Sable Dans Un Volontariat à El Bolson En Argentine

Tamisage en cours

Pour la finalisation des murs, nous préparions donc les matières premières lorsqu’il n’y en avait plus, c’est à dire, tamiser le sable pour qu’il soit bien fin et propre, préparer l’argile et enlever les cailloux qui se trouvaient dedans. Ensuite, nous préparions le mélange constituant les murs en mettant un certain nombre de seaux de sable tamisé dans la bétonnière, en y ajoutant quelques seaux d’argile puis de la paille et un peu d’eau. Tout cela tournait jusqu’à ce que le mélange soit bien homogène et forme une sorte de pâte puis nous la versions sur une grande bâche en plastique. Nous recouvrions la préparation d’une partie de la bâche puis marchions dessus pour bien finir la préparation et obtenir une boue parfaite pour les murs.

Candie Prépare Un Mur En Bioconstruction A El Bolson En Argentine

On tartine les murs

Une fois la préparation prête, nous « tartinions » les murs à l’aide de spatules ou à la main, en fonction du rendu final souhaité (bien lisse, propre et droit ou alors avec de belles formes arrondies). Il fallait que nous appliquions plusieurs couches sur les murs.

Pour certaines parties des murs, au niveau des plafonds, nous avons également rempli les trous avec de la paille préalablement trempée dans de l’argile.

Pour les repas, nous les préparions à tour de rôle entre nos hôtes et nous.

Ponctuellement, nous avons également arrosé, nettoyé le jardin potager et fait le ménage dans la maison.

Nous avons aussi gardé la maison pendant quelques jours afin que nos hôtes puissent en profiter pour se prendre quelques jours de vacances. Avec les travaux de leur maison qui leur prenait tout le temps et le chien et le chat qu’ils avaient, ils se permettaient difficilement des journées de repos.

Enfin, lorsqu’une des deux pièces en travaux fut finie et habitable, nous avons aidé à la nettoyer afin de pouvoir y installer un lit et pouvoir en faire notre chambre le temps de la fin de notre volontariat.

 Comment se déroulait une journée de travail ?

Les journées de travail étaient bien organisées et suivaient toujours le même schéma à peu de chose près. Nous travaillions 4/5h par jour en incluant des pauses maté (forcément !), 5 jours par semaine. Les jours de repos pouvaient varier en fonction de ce que nous voulions faire. Soit, nous prenions le samedi et dimanche ce qui nous permettait de partir randonner sur deux jours ou bien nous pouvions prendre un jour par-ci et l’autre par là. Nos hôtes étaient très souples par rapport à ça. Ils nous avaient même précisé que si ponctuellement nous voulions partir en vadrouille 3 jours, nous pouvions nous arranger.

Nous travaillions systématiquement le matin en commençant vers 9h/9h30 environ (ce n’était pas à la minute près) pour des raisons de climat. L’après-midi, il faisait une chaleur qui n’aurait pas été supportable ou agréable pour travailler.

 Quels ont été les échanges avec l’hôte ?

Ce volontariat était notre tout premier et cela ne faisait seulement qu’un mois que nous étions en Argentine. Notre espagnol était encore donc très très approximatif. Nous ne parlions qu’au présent, le passé et le futur étaient encore des concepts abstraits que nous avons appris petit à petit au cours de ce volontariat et notre vocabulaire était très pauvre. Mais cela ne nous a pas empêchées de réussir à échanger avec eux. Ils nous ont directement intégrées dans leur quotidien. Nous parlions de tout et ils avaient vraiment envie de nous partager leurs savoirs sur la construction de maison de ce type ce qui était génial.

Dès les premiers jours, Juan nous a invitées à venir voir un concert qu’il donnait avec son groupe de musique gipsy dans un petit restaurant du coin. Ils nous ont également emmenées un après-midi au lac avec eux et deux membres de leur famille venus en visite quelques jours. Nous avons partagé tous nos repas ensemble. Nous nous sentions vraiment comme à la maison.

A la fin de ce volontariat, nous et l’autre volontaire voulions repartir en stop pour rejoindre Bariloche. Ayant de la famille là-bas, nos hôtes nous ont proposé de nous y emmener en voiture directement. Ce fut une merveilleuse façon de clôturer cette super expérience tous ensemble.

 Combien y avait-il de volontaires ?

Nous n’étions que toutes les deux pendant environ deux semaines et demie puis une troisième volontaire nous a rejoints. Elle était française et avait dans nos âges, 27 ans. Elle est restée une petite dizaine de jours.

Enora Et Candie Dans Leur Volontariat En Bioconstruction à El Bolson

On passe à l’action !

Juan et Catalina n’ont pas de règle précise quant au nombre de volontaires qu’ils prennent et sur le rythme et la durée des séjours. Ils ne prennent des volontaires que s’ils ont vraiment besoin d’un coup de main. Ils préfèrent prévoir au compte-goutte et un peu au dernier moment pour se garder la liberté de pouvoir avoir des périodes tranquilles sans volontaire, car pour eux c’était aussi quand même fatigant d’avoir souvent des gens chez eux, de devoir parler avec eux, etc.

D’une manière générale, ils prenaient entre une à 3 personnes maximum, trois personnes étant quand même assez rare. Ils ne pouvaient de toute façon pas héberger plus de personnes.

 Comment peut-on découvrir les environs ?

Le coin d’El Bolson est génial pour les randonnées ! Nous en avons bien profité en partant soit à la journée soit sur deux jours avec nuit en refuge. Les départs de randonnée sont assez faciles d’accès en bus même s’il faut bien se caler sur les horaires de passage, car ils ne sont pas fréquents. Nous avons d’ailleurs eu des loupés sur les horaires de retour dû à une mauvaise communication des services touristiques/bus/refuge qui annoncent un horaire de passage, mais qui en fait n’est pas le bon (à 1h de différence). Dans ce cas, nous avions marché tout en faisait du stop pour rentrer, ce qui a bien fonctionné. Le taxi ou le stop peuvent être d’autres alternatives pour rejoindre les départs de randonnée.

Randonnée Hielo Azul à El Bolson En Argentine

1 week-end en mode rando’

Pour randonner, vous avez le cerro Piltriquitron qui vous fait atteindre son sommet et vous permet d’avoir une magnifique vue sur toute la vallée. Vous avez également de très nombreux sentiers de l’autre côté de la ville pour des randonnées à la journée ou de plusieurs jours, comme le sentier Hielo Azul et Cajón del Azul que nous avons fait et adoré.

Il est également possible de faire du parapente depuis le cerro Piltriquitron ou se baigner au lago Puelo.

Voilier Sur Le Lago Puelo Près D'el Bolson En Argentine

Le superbe Lago Pueblo

L’été vous avez une tente proposant des spectacles chaque soir, la Carpa Teatro, avec entrée au chapeau, donc chacun donne ce qu’il veut. Nos hôtes nous avaient proposé d’aller y voir un spectacle humoristique avec eux un soir et nous avons beaucoup aimé (même si nous ne comprenions pas encore tout ce qui était dit ^^).

Carpa Teatro A El Bolson En Argentine

Allez-y ! Vous allez passer un bon moment !

La ville offre également de nombreuses choses à faire, entre dégustation de glaces ou de bières locales (El Bolson est réputée pour sa culture du houblon et ses nombreuses productions de bières artisanales), les petits concerts et feria, les musiciens qui jouent régulièrement devant le restaurant/glacier/chocolatier Jauja. Nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer pendant le mois où nous y étions ! 🙂

Quelles sont les conditions d’hébergement ?

La première semaine de notre séjour s’est faite en tente. Il n’y avait pas de chambre supplémentaire à notre arrivée. Ils nous ont prêté leur tente, car nous n’en avions pas à ce moment-là. Ensuite, il y a eu une vague de mauvais temps donc nos hôtes nous ont proposé de dormir sur un petit lit dans le salon pour être plus au chaud. Enfin, lorsque la pièce sur laquelle nous travaillions à l’étage fut terminée, à part quelques finitions, nous avons pu y dormir les dix derniers jours environ.

Pour toutes les commodités, nous partagions la maison de nos hôtes.

Comment se passent les repas ?

Nous partagions tous les repas ensemble avec nos hôtes et ils étaient compris dans le volontariat. Les jours de repos, nous mangions soit à l’extérieur, car nous partions en vadrouille soit nous partagions les repas avec nos hôtes en participant à l’achat de la nourriture.

Ce qui était top pour nous qui ne mangeons pas de viande ni de poisson, c’est que nos hôtes étaient végétariens. Nous avons donc pu partager de bonnes recettes et en découvrir certaines avec eux. Nous nous souvenons, par exemple, de délicieuses milanaises d’aubergine que Catalina nous a faites un jour ! Ou encore les empanadas maison qu’on a pu savourer ensemble. Un régal !

C’est également eux qui nous ont fait goûter à notre tout premier asado argentin ! Un asado plein de verdures, mais également avec un morceau de bœuf de choix, la petite exception pour quand même goûter à la fameuse viande argentine. Il arrivait à nos hôtes de manger un petit peu de viande lors d’occasion exceptionnelle comme pour cet asado. Mais la viande de qualité étant chère là-bas, ils préfèrent ne pas en manger plutôt que d’en manger de mauvaise qualité.

Cet asado fut un beau moment de partage et de convivialité. Nous en gardons un bon souvenir.

Concernant l’organisation des repas, chacun se faisait son petit déjeuner en fonction de l’heure de réveil et si nous étions tous levés en même temps, nous le préparions ensemble. Le repas du midi était préparé à tour de rôle. Pendant que les autres travaillaient, un des volontaires ou des hôtes s’occupait du repas. Pour ce qui est du repas du soir, nous le faisions tous ensemble.

Y a-t-il internet ?

Il n’y avait pas du tout internet lors de notre passage chez Juan et Catalina. Nous n’avions pas de carte SIM avec internet, nous avons donc testé de nombreux cafés du centre d’El Bolson pour réussir à trouver un lieu avec un wifi acceptable pour pouvoir bosser sur notre blog. Sur tous les lieux que nous avons testés, le café/glacier/chocolatier Jauja était celui avec le meilleur wifi. Attention, car ils changent leur mot de passe tous les mois ;). Je préfère préciser, car nous pensions pouvoir utiliser rapidement le wifi de temps en temps simplement en nous asseyant sur les tables dehors devant sans consommer, mais nous sommes tombées pile sur le moment du changement de code la deuxième fois. Ça nous permettait parfois de simplement pouvoir actualiser nos emails ou messages en passant devant le café. D’autres fois, nous nous installions à l’intérieur avec un bon chocolat chaud ou une bonne crêpe puis nous travaillions quelques heures l’après-midi. Nous demandions toujours l’autorisation pour nous mettre sur les ordinateurs et rester un moment, car nous ne voulions pas que ça dérange. Ce café peut parfois être bien rempli, que ce soit aux heures de repas ou même aux heures du goûter. Nous avons eu nos petites habitudes dans cet endroit sympathique et les serveuses étaient toujours aimables.

Qu’as-tu pensé de ton volontariat ?

Le point fort de cette expérience

Il est difficile de ne choisir qu’un point fort. Je pense que l’expérience toute entière a été un point fort ^^. Les savoir-faire que nous avons appris ont été le point fort différenciant de toutes les autres expériences de volontariat que nous avons pu faire. Nous avons pu apprendre des techniques qui pourront peut-être nous servir un jour. Cette maison nous aura donné plein de bonnes idées à reproduire dans un futur chez nous.

Le point faible de cette expérience

Le seul point faible pour nous était qu’il n’y avait pas de wifi, ce qui nous obligeait systématiquement d’aller consommer en centre-ville pour avoir du wifi.  Mais à part ce détail, tout était nickel.

Qu’est-ce que vous retenez ?

Nous avons adoré cette première expérience en volontariat. Nous avons eu la chance de rencontrer deux hôtes très sympathiques et accueillants. Nous avons gardé contact avec Juan et Catalina et nous sommes ravies de voir passer des photos de l’avancement de la maison sur les réseaux sociaux. Le plus important dans le choix d’un volontariat pour nous était avant tout le projet et que les hôtes soient des locaux de préférences pour en apprendre plus sur la culture et la langue. Nous voulions nous sentir utiles sur des projets qui nous intéressaient et apprendre de nouvelles compétences tout en apportant notre coup de main. Ce volontariat aura entièrement répondu à nos attentes au point que nous sommes restées un mois ! 🙂

Ce volontariat fut une très belle expérience pour nous autant humainement, même s’il n’était pas toujours facile de communiquer à cause de la barrière de la langue, que pour ce que nous avons appris. Nous avons pu apprendre et faire des choses que nous n’avions jamais faites et c’était génial.

 Contact

Malheureusement, ils n’ont plus l’air de prendre de volontaire à l’heure où j’écris ces mots. Leur page Workaway semble désactivée, je ne préfère donc pas partager leurs contacts. Si jamais ils venaient à réactiver leur page Workaway, nos hôtes s’appellent Juan et Catalina et avec les informations et photos que nous partageons dans cet article, vous devriez reconnaître leur profil. Sinon, vous pourrez trouver d’autres volontariats dans le même esprit, construction en matériaux naturels, à El Bolson en cherchant sur le site Workaway. Beaucoup de personnes construisent elles-mêmes leur habitation de cette manière dans cette région.

 

On remercie chaleureusement Enora et Candie pour leur témoignage ultra complet ! Rendez-vous sur leur page Facebook pour suivre leurs actualités ! Imaginez à votre tour, aider les autres dans un cadre idyllique et passer de bons moments entre amis. La magie du volontariat !

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Volontariat De Enora Et Candie En Bioconstruction En Argentine à El Bolson

 

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L’idée est d’éclairer les voyageurs qui souhaitent s’investir dans le volontariat à travers les témoignages d’autres voyageurs : Comment ça se passe un volontariat ? Quelles sont les activités que l’on peut être amenés à réaliser ?  Quels sont les réels échanges entre les hôtes et les volontaires ? Bien sûr, cet avis est propre à celui de son auteur. Le vôtre sera sûrement différent. Vous pouvez retrouver toutes nos expériences de volontariats et celles des voyageurs dans la rubrique « Volontariat ».

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